Résidences tremplin et curatoriale à la Ferme du Défend 2023, Leïla Couradin, Rémi Lécussan, Camille Sart et Bronte Scott
Résidence tremplin et curatoriale
Leïla Couradin (commissaire) et Rémi Lécussan, Camille Sart et Bronte Scott
Leïla Couradin (commissaire) et Rémi Lécussan, Camille Sart et Bronte Scott
DU 03/04/2023
AU 21/05/2023
Rousset
Ferme du Défend
Accès libre
Camille Sart, diplômée de l’ESADTPM
voyons voir accompagne l’émergence avec une résidence dédiée à trois jeunes artistes diplômé.es des écoles d’Art d’Aix-en-Provence, Marseille et de Toulon, et un.e commissaire d’exposition. Les artistes et le ou la commissaire sélectionné.es par un jury, cohabitent durant sept semaines à la ferme du Défend, au sein d’un paysage patrimonial qui fait face à la Sainte Victoire, et offre aux résident.es un contexte de recherche et de production très atypique. Ancienne station séricicole, aujourd’hui domaine viticole, la ferme du Défend de la famille Coutagne, s’étend sur plusieurs hectares. À l’issue de cette résidence de recherche et de création, il est proposé au grand public de partager un moment d’échange et de monstration pendant le Printemps de l’art contemporain, un beau dimanche de mai.
Restitution le dimanche 21 mai 2023 – Parcours du Printemps de l’Art contemporain
Plus d’information à propos de Leïla Couradin :
Leïla Couradin est née à Grenoble en 1991, elle vit et travaille entre Paris et Lyon. Après une formation à l’École des Beaux-Arts d’Annecy puis à l’Université en Histoire de l’Art où elle entreprend un travail de recherche sur les notions de satire, d’ironie, et d’humour citationnel dans les œuvres du collectif bordelais Présence Panchounette, Leïla Couradin a occupé différents postes dans des lieux d’exposition français : l’Institut d’art contemporain de Villeurbanne, La BF15, La Fondation Bullukian, La Salle de bains à Lyon et le FRAC Champagne-Ardenne à Reims.
Critique d’art indépendante depuis 2016, elle développe une activité d’écriture pour des artistes ou pour des revues spécialisées (Zérodeux, La belle revue, La critique, Artaïs et Point Contemporain). Elle lance en 2020, aux côtés de Chloé Godefroy (autrice) et d’Anaëlle Rambaud (artiste) la revue POST it, une micro édition indépendante qui donne la parole aux artistes. En 2022, l’espace d’exposition d’art contemporain Bikini lui propose de collaborer avec l’artiste Christopher Daharsh, et d’écrire une forme libre en résonance de la Biennale de Lyon. En 2023, elle est invitée par le CACN, centre d’art contemporain de Nîmes, à l’occasion de l’exposition monographique d’Amalia Laurent, « L’édifice immense du souvenir ».
Commissaire d’exposition indépendante, elle fonde et dirige depuis 2019 le local, un lieu d’exposition et de diffusion d’œuvres d’art et d’éditions d’artistes résolument tourné vers la jeune création. L’année suivante, Leïla Couradin est invitée à la Kunsthalle de Mulhouse pour l’exposition internationale annuelle Régionale, où elle présente La fête de l’insignifiance, une exposition collective construite à partir de l’Œuvre du romancier Milan Kundera. Invitée au Parc Saint Léger en 2022, elle présente une exposition monographique de Bettina Samson, Spectral Summer. Elle présente également les expositions d’Adélaïde Feriot, de Julie Kieffer et de Lisa Duroux pour la saison 2022-2023 du théâtre Le Polaris (Corbas), où elle est commissaire associée.
.
Texte Critique d'Art
Pratique
Du 03/04/2023
Au 21/05/2023
Le ferme du Défend
residence@voyonsvoir.org
Soutiens